« Bizarre d’être »…
Interroger notre condition humaine et notre rapport au
corps, où commence et où finit l’humain, qu’est-ce qui le
distingue de la nature, et quelle est sa place, sa
fonction?
À travers une rêverie utopique, une sculpture à porter où « l’homme » tisse une
histoire idyllique avec ce qui l’entoure dans une
redéfinition de lui-même.
En contradiction avec le cynisme ambiant d’une « fin du
monde » inévitable : (la multiplication des guerres, les
crimes contre l’humanité, la pollution, la
surconsommation, la disparition de certaines espèces
végétales et animales, la prolifération des dictatures, la
montée des extrémistes, les contaminations, les virus…).